L’Homéopathie est clairement fondée sur la base de la Loi de physique quantique d’Exclusion de Pauli** et la Loi de Similitude*, selon laquelle les substances (à doses allopathiques) capables de provoquer l’apparition de certains symptômes sur un organisme sain, peuvent aussi (à doses homéopathiques) traiter les symptômes similaires observés sur une personne malade.

* la Loi de similitude
Samuel Hahnemann, Organon. Cette loi rappelle le principe «Similia similibus curentur» énoncé au Vème siècle avant J-C par Hippocrate (père de la médecine) consistant à «guérir le semblable par le semblable».

** la Loi d’exclusion de Pauli
Le patient malade vibre à une certaine fréquence. Le remède à lui conseiller sera donné à diverses dynamisations ou fréquences jusqu’à correspondre à celle du malade, qui se trouvera soulagé par la réponse de son énergie vitale innée de guérison (appelée Dynamis) car, selon la Loi d’exclusion de Pauli, deux mêmes fréquences ne peuvent co-exister . La représentation imagée de ceci est celle de deux cailloux parfaitement identiques en taille et en poids jetés dans le lac en deux points distincts: deux vagues vont se déplacer l’une vers l’autre et ne devenir qu’une seule vague amplifiée avant de disparaître. Ce phénomène explique d’ailleurs l’aggravation primaire possible du remède homéopathique.

Samuel Hahnemann

Samuel Hahnemann, médecin allemand du XVIIIè et XIXè siècles, fonda l’Homéopathie, dans le but de faire retrouver la santé à ses patients de façon plus durable et sans l’altérer (cf. Organon).

Il établit la procédure de fabrication des remèdes homéopathiques*** (DH: Décimale Hahnemannienne, CH: Centésimale Hahnemannienne) désormais adoptée par tous. Cette méthode de fabrication repose sur des dilutions et dynamisations successives, et est respectée avec une rigueur toute scientifique.

*** la procédure de fabrication des remèdes homéopathiques:
1 ml de substance (plante par exemple) triturée dans de l’alcool est mélangé à 9ml d’un mélange d’eau et d’alcool et dynamisé (agité vigoureusement 100 fois) pour obtenir 1 DH de remède homéopathique ou respectivement dans 99ml d’un mélange d’eau et d’alcool pour obtenir 1 CH de remède homéopathique… Au-delà de 15CH il n’y a plus de molécule active mais les Propriétés de La Mémoire de l’Eau* permettent de transférer l’information aux dilutions ultérieures qui sont plus puissantes (au contraire des aprioris cartésiens) et destinées à soigner des symptômes émotionnels, psychiques ou encore transgénérationnels. L’alcool mélangé à cette eau dynamisée permet de la conserver. Ce dernier mélange servira à imprégner des granules (destinés à plusieurs prises distinctes) ou globules (plus petits, réservés pour une prise unique) souvent à base de saccharose pour conserver le remède homéopathique.

Le choix du remède homéopathique à prescrire est fait par l’Homéopathe à l’aide de l’Ensemble des symptômes caractéristiques physiques, émotionnels et mentaux du patient et en fonction des Circonstances de la maladie.

L’homéopathe utilise un Répertoire homéopathique (encyclopédie des symptômes avec classification statistique des remèdes correspondants) ou logiciel homéopathique (plus pratique pour croiser les informations et trouver rapidement le remède) et valide le remède à l’aide de la Matière médicale (encyclopédie des remèdes établie par répertorisation statistique des symptômes développés chez des personnes saines ayant pris plusieurs fois le même remède en basse dynamisation).

Dilution du remède homéopathique à prescrire

La dilution du remède homéopathique à prescrire est évaluée par l’homéopathe en fonction du trouble à traiter (physique, émotionnel, mental), de la robustesse du patient (du patient jeune et dynamique au patient âgé et affaibli) et des circonstances de la maladie.

L’efficacité des remèdes homéopathiques est expliquée par les propriétés de «La mémoire de l’eau» et le fait que tout élément même inerte possède une vibration ou énergie. Les remèdes homéopathiques sont fabriqués par une suite de dilutions (dans un flacon au moyen d’un mélange d’eau et d’alcool): nécessaires pour enlever toute toxicité du remède, suivies à chaque fois d’une dynamisation (le flacon est secoué 100 fois): nécessaire pour transmettre l’information ou vibration ou fréquence ou énergie du remède à l’eau.

Ce procédé de fabrication a été évident tout simplement suite de l’observation de la meilleure efficacité des remèdes livrés par Hahnemann lors d’épidémies à ses patients éloignés: ces remèdes étaient contenus dans des fioles secouées sur la selle de son cheval!

Conservation des remèdes homéopathiques

S’agissant de remèdes «énergétiques», il faut les conserver à distance des appareils électro-magnétiques (natel…) et à l’abri de l’humidité.

Dans les cas simples

Une à deux séances peuvent suffire.
Un patient ayant un cas aigu (grippe, entorse, etc.) répondra d’autant plus vite au remède homéopathique prescrit qu’il le prendra rapidement.

Dans les cas chroniques

Vos symptômes à soigner se manifestent depuis plusieurs années et nécessitent un suivi, où plusieurs dynamisations du remède approprié sont nécessaires pour les améliorer.

Il faut lever parfois certains barrages à l’aide de remèdes ou de drainages intermédiaires (du foie, de médicaments, de vaccins…) afin que le remède approprié puisse agir.

Il faut parfois utiliser un ou plusieurs remèdes préliminaires afin de voir apparaître clairement les symptômes qui caractérisent le remède approprié…on parle de nettoyer les différentes couches successives d’oignons avant d’atteindre son cœur, d’autant plus que le patient est âgé.

Dans tous les cas n’hésitez pas à reprendre rendez-vous dès que vos problèmes réapparaissent (1 mois, 6 mois, 1 an après): une courte séance permet alors de consolider l’effet bénéfique de votre thérapie.